encore des cris de cœur chez les femmes des immigrés clandestins? Le directeur de l’office Belge des étrangers
est de nouveau en séjour
de travail en Guinée, toujours pour expliquer les difficultés d’intégration
des émigrés guinéens clandestins vivant en Belgique.
Et les politiques
existantes en matière de demande d’asile et de gestion ordonnée des flux
migratoires.
Selon Freddy Roosemont, le nombre des ressortissants guinéens demandeurs
d’asile en Belgique dans le but
d’obtenir le statut de réfugiés ne cesse d’augmenter. Partant des chiffres
réels, le directeur a dit que le nombre de demandes est passé de 1 396 en 2010
à plus de 1 692 entre janvier et octobre de cette année. Pour le tout début de
l’année 2012 il y a eu plus de 300 demandes d’asile pour la Belgique.
« Ces personnes évoquent de multiples raisons de persécutions subies
dans leurs pays d’origine, souvent liées à l’instabilité politique et à des
problèmes culturels », a noté M. Freddy.
Pour lutter contre l’immigration clandestine, le directeur général de
l’Office belge des étrangers a indiqué que chaque demande d’asile introduite en
Belgique est examinée « individuellement » et les raisons
invoquées sont également « miteusement » examinées, par les
services compétents belges.
Pour lui, les dossiers sont souvent constitués de fausses déclarations et
de faux documents et servent uniquement à obtenir un titre de séjour permettant
l’exercice des activités économiques. Avant d’ajouter que « les
clandestins se livrent souvent à des filières de traite des êtres
humains, de prostitutions, de ventes de drogue, etc.
C’est pourquoi, a-t-il dit, l’OIM, les gouvernements guinéen et belge développent
actuellement une « synergie » d’action afin que des mesures soient
prises pour coopérer sur le retour des clandestins en Guinée. La première étape
de cette stratégie est la campagne d’information et de sensibilisation menée à
Conakry et dans les grandes villes de l’intérieur du pays, pour prévenir les
jeunes guinéens sur les dangers et risques de l’immigration clandestine et
encourager les potentiels candidats à l’immigration à utiliser les « voies
légales » pour se rendre en Europe.
« A travers toutes ces actions,
nous espérons mettre fin à certaines pratiques qui nuisent non seulement
l’image de la Guinée, mais aussi celle de Belgique et qui ont fait tant de
victimes pendants ces années », a conclu M. Freddy Roosemont .
« A travers toutes ces actions, nous espérons mettre fin à certaines
pratiques qui nuisent non seulement l’image de la Guinée, mais aussi celle de
Belgique et qui ont fait tant de victimes pendants ces années », a conclu
M. Freddy Roosemont .
De nos jours, plus de 8 575 Guinéens vivent en Belgique dans l’égalité a
indiqué le patron de l’Office Belge des Étrangers.
ehhhhhhhhhhhhhhh bon Dieu donc nocs compatriotes qui vivent clandestines sont sommés a revenir dans le guetto. je n'en crois pas!
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