lundi 2 avril 2012

Immigration clandestine: Le directeur de l'office belge des étrangers vient de tirer sur la sonnette


encore des cris de cœur chez les femmes des immigrés clandestins?  Le directeur de l’office Belge des étrangers est de nouveau  en  séjour  de travail en Guinée, toujours pour expliquer les difficultés d’intégration des émigrés guinéens clandestins vivant en Belgique.
Et les politiques existantes en matière de demande d’asile et de gestion ordonnée des flux migratoires.


Selon Freddy Roosemont, le nombre des ressortissants guinéens demandeurs d’asile en  Belgique dans le but d’obtenir le statut de réfugiés ne cesse d’augmenter. Partant des chiffres réels, le directeur a dit que le nombre de demandes est passé de 1 396 en 2010 à plus de 1 692 entre janvier et octobre de cette année. Pour le tout début de l’année 2012 il y a eu plus de 300 demandes d’asile pour la Belgique. 
« Ces personnes évoquent de multiples raisons de persécutions subies dans leurs pays d’origine, souvent liées à l’instabilité politique et à des problèmes culturels », a noté M. Freddy.  

 Pour lutter contre l’immigration clandestine, le directeur général de l’Office belge des étrangers a indiqué que chaque demande d’asile introduite en Belgique est examinée  « individuellement » et les raisons invoquées sont également  « miteusement » examinées, par les services compétents belges.

Pour lui, les dossiers sont souvent constitués de fausses déclarations et de faux documents et servent uniquement à obtenir un titre de séjour permettant l’exercice des activités économiques. Avant d’ajouter que « les clandestins se livrent souvent à des filières de  traite des êtres humains, de prostitutions, de ventes de drogue, etc.


C’est pourquoi, a-t-il dit, l’OIM, les gouvernements guinéen et belge développent actuellement une « synergie » d’action afin que des mesures soient prises pour coopérer sur le retour des clandestins en Guinée. La première étape de cette stratégie est la campagne d’information et de sensibilisation menée à Conakry et dans les grandes villes de l’intérieur du pays, pour prévenir les jeunes guinéens sur les dangers et risques de l’immigration clandestine et encourager les potentiels candidats à l’immigration à utiliser les « voies légales » pour se rendre en Europe. 


 « A travers toutes ces actions, nous espérons mettre fin à certaines pratiques qui nuisent non seulement l’image de la Guinée, mais aussi celle de Belgique et qui ont fait tant de victimes pendants ces années », a conclu M. Freddy Roosemont .
« A travers toutes ces actions, nous espérons mettre fin à certaines pratiques qui nuisent non seulement l’image de la Guinée, mais aussi celle de Belgique et qui ont fait tant de victimes pendants ces années », a conclu M. Freddy Roosemont .


De nos jours, plus de 8 575 Guinéens vivent en Belgique dans l’égalité a indiqué le patron de l’Office Belge des Étrangers.





                                                                                                                                                                                                         

1 commentaire:

  1. ehhhhhhhhhhhhhhh bon Dieu donc nocs compatriotes qui vivent clandestines sont sommés a revenir dans le guetto. je n'en crois pas!

    RépondreSupprimer